Genius Traductions françaises
Βαστίλη (Bastili) (Traduction Française)
Bien que j’aie traîné dans des chambers misérables

Je courais pour le travail en sortant du tunnel
Et, je gagne les batailles où j’ai marché
Mes vers, comme des épées qu’une sorcière baiseure tient
Cassent l’un après l’autre les lieux de supplice du monde
Et ce sont les remprarts de la Bastille
Se murailles gigantesques contre les remparts minimes où se jettent des millions

Comment l’amour peut pousser dans un sol stérile
Les flics battent et le pâté de paison suivant saigne
Dans les années où la gens se battent avec l’injuste
Et dans le sein je cache un corbeau noir qui fait attention
A tous mes frères, il regarde de travers le flatteur
Et tes murs sont comme des vagues enormes

Avlona, Allikarnaso, Koridallo et Moria


Refrain:

Et je deteste vos prisons, eh, les canibales!!!
Je fleuris dans l’obscuritè mais je me fane a la lumière
Pour que mes proches, mes deux amis et tous ceux
Qui rêvent de bruler la Bastille, vos prisons
Eh les canibales, je les déteste

C’est de vor au lieu de paraître
Ce qui m’interesse le plus, c’est de brûler au lieu de me brûler

Là, je me situe dans vos prisons, les canibales, je les déteste
Dans lesquelles vous allez vous pencher quand tout le monde se révolte! combien vous allez me battre!
Mes amis vont se tuer devant la porte des remparts avec ceux
Qui rêvent de brûler la Bastille!

A quelques yeux que j’aie cru, je n’ai pas appris
Moi, ma solitude, je l’ai peinte rouge
Je regardais la Bastille, j'agitais le drapeau
Un crayon a la main et seulement avec ça, je le démolissais
Et je riais et maintenant j’ai compris que tu as gagné
Jamais on n’a attaqué comme les abeilles
Jamais tu n’as lutté pour quelque chose que tu n’as pas voulu
Ici, mes frères, que tu m’as privés, se vengent!!
Regarde comme le sang se jette de ton ecran!!
Toi, tu regardes et eux, ils t’étranglent dans ton salon!!

Ils mettent des panonceaux pour que tes chemins s’embrouillent
En vendant des pubbicités en formnt ton oppinion
C’est pouruoi les amoraux commandent...
Jamais, on n’a attaqué comme des singers
Au moins, les plus jeunes écrivent des vers!!!
Nous allons attaquer, un jour, comme des rhinocéros!!
Et cette Bastille grossit et fait semblant sans cesse
Et dans la grande cage, quelque chose de sale fermente
S’ils viennent pour nous, ne me demande pas ce qu’ on fait!!
Tu viendras me serrer dans les bras et nous allons mourir!!